C'est la nuit, il est tard. Je rumine et je cherche à oublier mes idées noirs.
Car ici je suis au chaud mais dehors pour beaucoup c'est la Faux.
Qui guette les ruelles, les plaines, les îles, les déserts. Pour les prendre sans en avoir l'air.
Nos soldats, nos princesse oublié, ont leur à enlevé leur titre de noblesse.
Car pour beaucoup trop coloré, trop macabre, trop surprenant, trop révolté.
Alors l'homme blanc de son sort puissant, pour eux à décidé, qu'ils devaient être rejeté.
Enseveli sous les décombres ils périssent et périront.
Aujourd'hui dans la main de l’Europe c'est la répression.
Et tous nos enfants étoiles de leurs destins se lèveront.
Alors j’oublie mes idées noir lorsque j'imagine la paix.
A quel prix la gagnerons nous ? c'est la question lorsque je vois tous ces fous.
Levé leurs armées pour maltraité, au raison du profits, à raisons d'ignorants.
Qui consomme la misère des peuples oublié et ceux qu'on à massacré.
Et oui je suis un indigné, fallait pas venir me cherché si tu n'ose pas m'écouter.
Rend compte dans tes Larmes du drame des âmes. Enfants de lumière lève toi .
Enfants de lumières Tapis dans l'enfer, j'me débats dans l'espoir d'élevé le bas.
J'ai croisée la misère, j'la côtoie, alors t'étonne pas de voir la peur sous mes pas.
C'est normal que j'ose pas passer le cap et crier plein poumons, T'inquiète on VAINCRA !
Perdu dans l'ivresse j'suis d’éther et crois moi la morale j'm'en fais pas.
J'en ais vue combien des esclaves comme toi et moi ?
M'dire que de toutes façon rien n'y ferra, c'est la résignation qui nous à emmené là.
Mais j'me bas, alors je ne perds pas face à tout les gens comme toi.
J'me bas pour resté debout et marché droit, et t'en fais pas j'en verrais d'autre comme ça.
T'es au chaud, ta France 2 mais prend garde où sa chauffe dans le ghetto .
Israël, Palestine même combat, j'rêve de la paix. La paix des oliviers.
Qui viendras, alors son pleureras, on pleureras à la joie,
d'avoir vaincu leurs démons et leur pas.
Palestine, lève toi !
Et oui j'suis politiquen, mais écoute donc le squat qui nique
" si tu ne t'occupe pas de politique, la politique s'occupe de toi"
alors ferme les yeux si tu veux, regarde autre part si tu veux.
Mais le monde à besoin de toi.
J’élève mes mots, je lève ma voix, et toi.. t'es resté là.
Ta rien fais pour joindre nos pas.
Tu les à laissé nous tuer,, juste comme sa.
Pour roulé ta petite auto, pour baiser ta petite go
M'prend pas pour un chaud, la colère ronge mes mots
Car j'écoute et je vois, ton âme remplit d'égo.
tes actions qui m'écorche et qui me tue.
Bien sur ta mieux à faire, passe la brosse.
Petit Homme tombe....
Petit Homme est mort.
Je ne suis rien, autant que tu n'es rien. Seul triste et mort, c'est ainsi que je finirais.
excepté toi, toi qui sais vivre avec l'homme, mais s'il te plais.